Belcastel en Scène 2023

La Famille Vient en Mangeant – Compagnie Mmm…

Texte, mise en scène et interprétation : Marie-Magdeleine et Julien Marot avec Benoît Gruel

Résumé :

Il est des spectacles qui vous embarquent et vous émeuvent par la force qu’ils dégagent : La Famille vient en mangeant est de ceux-là. On en ressort transformé et grandi. Car il y a dans cette pièce de l’humanité à foison, du naturel à revendre, de l’amour de la vie pour un sujet pas forcément facile : la Famille. On voudrait parfois l’oublier, ou au moins s’en détacher, et bien là, on s’y confronte, avec force et passion.

L’extraordinaire Marie-Magdeleine, auteur et actrice talentueuse, a laissé  sa place sur scène  au formidable acteur Benoît Gruel, bien connu à Belcastel puisqu’il y a joué avec la Compagnie de l’Éternel Été “Les fourberies de Scapin”, “Le petit Poucet”, “Ivanov” et “Fantasio”.  Dans ce seul en scène, Benoît Gruel incarne tout, et pas seulement les 8 personnages ! Un point de vue décapant au cœur d’une famille nombreuse où l’on se cuisine à table et dans laquelle toutes les relations sont mises à nu. Chacun y a sa place, chacun y donne son LA, c’est un petit bout d’humanité avec toutes ses fragilités…

L’État de Siège – Compagnie L’Éternel Été

Texte : Albert Camus

Adaptation, mise en scène, scénographie et costumes : Emmanuel Besnault

Régie générale, création lumière et construction du décor : Didier Landès

Assistante à la mise en scène : Zoé Megemont

Avec : Arthur Baratin, Laurie Iversen, Sylvain Lecomte, Benjamin Migneco, Geoffrey Rouge-Carrassat, Frédérique Voruz, Yuriy Zavalnyouk.

Résumé :

« J’aimerais voir L’État de siège en plein air » écrit Camus en 1958. Ce rêve, nous voulons le faire nôtre, le prendre au mot, jouer au milieu d’un champ ou sur la place d’un village lors d’une tournée de festivals d’été en plein air à travers la France.

Après Scapin de Molière, Ivanov de Tchekhov et Fantasio de Musset, retrouvez la Compagnie de L’Éternel Été dans un nouveau grand spectacle de troupe : L’État de siège, chef d’oeuvre méconnu d’Albert Camus, qui met en scène une magnifique histoire d’amour pour nous faire réfléchir sur nos comportements individuels et collectifs en période de crise. La promesse d’une belle soirée de théâtre en plein air qui fera se rencontrer dans un tourbillon d’émotions le comique et le tragique, le poétique et le politique, le lyrique et le romantique. 

Moi vivante – Marie-Hélène Goudet

Mise en scène et scénographie : Emmanuel
Besnault

Résumé :  Ferdinande Mouthe, 44 ans, vivante. Immortelle même ! Enfin… c’est ce qu’elle se plaît à croire. Pour conjurer le sort, elle collectionne depuis son plus jeune âge les avis de décès.
« Lire la mort des autres, ça vous rappelle que vous êtes en vie. Et que mourir… ça n’arrive qu’aux autres ! »

En interprétant, dans un basculement incessant, différents personnages qui auront marqué son existence, la comédienne nous raconte l’histoire « auto-dérisoire » de Ferdinande Mouthe, qui résonne ici comme un hymne aux mortels que nous sommes, et nous parle de manière jubilatoire du sens de la vie.
« Moi vivante » est un spectacle qui parle de nous. De ce que nous sommes ou deviendrons, d’où nous venons et où nous allons, parce que qu’on ne naît pas de rien, et parce qu’on ne l’a pas choisi.
Insolente, drôle et touchante, Ferdinande tente de nous faire croire que la vie n’est pas grand chose, mais
pour être sincère, on ne la croit pas vraiment…

Les amoureux de Molière – Compagnie Les mauvais élèves

Mise en scène : Shirley et Dino avec Valérian Behar-Bonnet, Elisa Benizio, Bérénice Coudy, Antoine Richard

Résumé : Les Mauvais Élèves proposent une galerie de personnages hauts en couleur et déjantés qui servent une dizaine de scènes incontournables et drôlissimes de Molière. Un Harpagon plus avare que jamais, un Dom-Juan zélé et loquace, une amoureuse transie et convaincue, un valet de mauvaise foi… Le quatuor s’adonne avec bonheur à la chanson et à la danse. Des folies musicales accompagnent les scènes et font échos aux situations des personnages. Les Mauvais Élèves ne manquent pas à leur volonté de créer un théâtre léger, accessible et adaptable en toute circonstance. Ils se passent donc de décor et jettent leur dévolu sur des costumes pop et colorés à l’image de l’œuvre du maître intemporelle et joyeuse.

Les Petits Plats dans les Grands – Compagnie Les Balbutiés

Spectacle famille pour petits et grands

Interprétation : Aurélie Bapst, Kévin Guégen, Jérémy Sanagheal

Musicien : Régis Langlais

Résumé : Trois cuisiniers accueillent de petits gourmands et de grands gourmets (le public) dans leur restaurant pas comme les autres. C’est un restaurant où il n’y a rien à manger : ici on monte les idées en neige et on nourrit l’imaginaire : c’est un restaurant à histoires. Et le menu est vide, ce sera au public de le remplir en choisissant ses ingrédients.
Tout est possible ! Dinosaure, trompette, montagne, plombier, nuages, éclat de rire, grosse colère… On peut déguster de tout et mélanger les saveurs les plus improbables ! Et si on dégustait l’histoire d’une sorcière et d’un dentiste qui se passe à la montagne ? Et si on goûtait

“Bulles” – Histoires éphémères de 10 à 15min de la Compagnie Le Grand Large

Texte, mise en scène et interprétation : Compagnie Le Grand Large – Arthur Baratin et Benjamin Migneco

Résumé :
“Alfredo”
Le Grand Large vous propose, en exclusivité, un petit cours de remise en forme sur les bords de l’Aveyron ! Le festival s’annonçant chargé, Alfredo vous propose un échauffement. Il faut bien l’avouer, les techniques d’Alfredo sont quelque peu originales mais pour ce qui est de vous divertir, ça, il y mettra tout son cœur […]

“Le discours d’un Prince”
Oyez ! Oyez !
Nobles seigneurs, messires et gentes dames !
Sortez les atouts de festoie, et que les cors sonnent car nous aurons l’honneur et le privilège de célébrer en votre gente présence, l’arrivée exceptionnelle du Prince dans votre contrée Belcasteloise […]

“Les Vagabonds acte II”
– On dort où ce soir ?
– Je sais pas… Ici ?
– On a pas dormi ici déjà l’année dernière ?
– Possible… Me souviens plus.
– J’ai l’impression de connaître ce pont…
– […]